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Pour rejoindre la cité "perdue" des incas, on choisit l'itinéraire bis, le pas cher qui fait faire deux fois le tour de la montagne pour éviter le train à 180$ par tête... Comme c'est le même chemin qu'ont pris Pauline et Quentin, il y a quelques mois, ceux qui ont lu leur blog connaissent déjà l'histoire et sont donc dispensés de lire la suite...
On part tôt de Cusco pour prendre un bus à peu près correct mais rempli à craquer et bien sûr, on a les places du fond (celles qui secouent le plus et où nos jambes ne rentrent pas...). Malgré toutes les secousses et 5h plus tard, on arrive à Sta Maria où à peine sortis du bus, 5 chauffeurs de taxi nous sautent dessus pour nous amener à notre étape suivante, Sta Teresa. On négocie puis on se retrouve avec Romain et son père dans un taxi, sur une piste, au bord du précipice, pour 1h de trajet... Heureusement, on ne fait pas trop attention à la route, trop occupés à parler avec nos nouveaux compagnons. On se rendra beaucoup mieux compte au retour que le vide est proche et que la rivière est vraiment loin, tout là bas au fond... On arrive (en vie) à Sta Teresa où on décide de passer la nuit. Petit village perdu qui commence à se remplir d'hôtels et de restaurants, grâce à (à cause de ?) nous et aux autres backpackers. Le lendemain, encore un peu de colectivo sur une piste tout aussi effrayante que celle de la veille mais seulement 30min de trajet pour rejoindre la "hydro". De là, on part à pied, le long de la voie ferrée pour une belle promenade dans la forêt, le long du rio Urubamba et au pied du Machu Picchu qu'on aperçoit de temps en temps perché sur sa montagne. On croise des perroquets et même une belette de jungle ! On arrive 3h plus tard à Aguas Calientes (Machu Picchu City), pire que Cusco, qui ne vit que par et pour le tourisme. Fatigués, on dort tôt. On se lève encore plus tôt car pour continuer sur notre lancée, on monte à pied à la cité des incas. 500m de dénivelé par des escaliers hyper raides et des marches trop hautes, à 4h30 du matin, c'était pas une bonne idée. On arrive en haut en nage et épuisés mais, après encore quelques marches, on doit avouer que voir la brume se lever sur le Machu Picchu à quelque chose de magique !
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14 au 16 octobre - Le Machu Picchu ça se paye... ou ça se mérite !
Pour rejoindre la cité "perdue" des incas, on choisit l'itinéraire bis, le pas cher qui fait faire deux fois le tour de la montagne pour éviter le train à 180$ par tête... Comme c'est le même chemin qu'ont pris Pauline et Quentin, il y a quelques mois, ceux qui ont lu leur blog connaissent déjà l'histoire et sont donc dispensés de lire la suite...
On part tôt de Cusco pour prendre un bus à peu près correct mais rempli à craquer et bien sûr, on a les places du fond (celles qui secouent le plus et où nos jambes ne rentrent pas...). Malgré toutes les secousses et 5h plus tard, on arrive à Sta Maria où à peine sortis du bus, 5 chauffeurs de taxi nous sautent dessus pour nous amener à notre étape suivante, Sta Teresa. On négocie puis on se retrouve avec Romain et son père dans un taxi, sur une piste, au bord du précipice, pour 1h de trajet... Heureusement, on ne fait pas trop attention à la route, trop occupés à parler avec nos nouveaux compagnons. On se rendra beaucoup mieux compte au retour que le vide est proche et que la rivière est vraiment loin, tout là bas au fond... On arrive (en vie) à Sta Teresa où on décide de passer la nuit. Petit village perdu qui commence à se remplir d'hôtels et de restaurants, grâce à (à cause de ?) nous et aux autres backpackers. Le lendemain, encore un peu de colectivo sur une piste tout aussi effrayante que celle de la veille mais seulement 30min de trajet pour rejoindre la "hydro". De là, on part à pied, le long de la voie ferrée pour une belle promenade dans la forêt, le long du rio Urubamba et au pied du Machu Picchu qu'on aperçoit de temps en temps perché sur sa montagne. On croise des perroquets et même une belette de jungle ! On arrive 3h plus tard à Aguas Calientes (Machu Picchu City), pire que Cusco, qui ne vit que par et pour le tourisme. Fatigués, on dort tôt. On se lève encore plus tôt car pour continuer sur notre lancée, on monte à pied à la cité des incas. 500m de dénivelé par des escaliers hyper raides et des marches trop hautes, à 4h30 du matin, c'était pas une bonne idée. On arrive en haut en nage et épuisés mais, après encore quelques marches, on doit avouer que voir la brume se lever sur le Machu Picchu à quelque chose de magique !
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Aguas Calientes
Le paradis des joueurs de pipo
4h30, go !
Avec Romain et son papa "oui, mon appareil photo..."
Petit "lapin de rocher qui se nourrit d'orchidées"
Mini-avocat !